DataMatrix, QR Code et code à barres EAN-13. Tel serait le trio survivant à l'appel du groupement GS1, spécialisé dans la gestion de la chaîne logistique. Celui-ci recommande à ses adhérents et à ceux qui en dépendent de ne garder que ces trois formes de représentation. Cette direction avait déjà été annoncée - et relayée par L'Atelier Asie - en juin dernier à New York. Le tout, afin d'aider les fournisseurs à savoir dans quelle direction innover dans le m-commerce.
QR Code par réalisme
Le consortium est parti de critères qu'il estime indispensables. A savoir approuvées par l'organisation de standardisation ISO et GS1, mise en œuvre réussie, lisible par des appareils mobiles disponibles dans le commerce, et standards ouverts. Par standard ouvert, il faut comprendre utilisation gratuite et pas de brevet qu'un fournisseur pourrait exercer. Au final, seule une des représentation n'est pas un standard estampillé par le consortium : le fameux QR Code (Quick Response Code). Il semble que dans ce cas, GS1 aie fait montre de pragmatisme : ce système 2D est très répandu au Japon et dans l'est de l'Asie.
Suite de l'article sur l'atelier
Bonjour, Je suis journaliste à Montréal.
RépondreSupprimerAu quartier Libre, le journal des étudiants de l'Université de Montréal. Je fais un article sur les codes barres.
Je me demandais si je pouvais d'un part prendre quelques informations sur votre blog en mentionnant biensur votre nom et fonction et si vous pouviez aussi repondre à quelques questions.
Merci
Bonjour,
RépondreSupprimerlaissez moi vos coordonnées sur mon email, vincent@nexence.com, je vous contact au plus vite.